L’ex Première dame du Gabon, Sylvia Bongo Valentin, vit actuellement un cauchemar qui lui laissera des séquelles à vie. En effet, en résidence surveillée depuis le coup de libération du 30 Août 2023 par les militaires, qui ait mis fin au régime BONGO-PDG, en déposant Ali BONGO ONDIMBA en retraite forcé, Sylvie BONGO à été entendue ce Mercredi 11 Octobre 2023 par les juges d’instructions du parquet de Libreville, puis confrontée à Brice Laccruche Alihanga ancien Directeur de Cabinet d’Ali Bongo, ayant été emprisonné pour plusieurs Chefs d’accusations.
On y croirait à un film de Novelas en voyant les images montrant la toute puissante ancienne régente de la » Young Team » face à BLA et les hommes de toge. Au cours de cet interrogatoire, l’ex Première dame a selon une source très proche du dossier, versée dans un déni de vérité en rejetant tous les faits qui lui ont été reproché. Une attitude méprisable et honteuse qui donne l’impression que la dulcinée d’Ali Bongo, croit dur comme fer qu’elle s’en sortira et que tous ceci n’est qu’une mise en scène.
Celà dit au regard des révélations sur la toile d’une possible exfiltration de Lee White, ancien Ministre des Eaux et Forêts d’Ali Bongo, reconnu coupables de plusieurs Chefs d’accusations et mis en résidence surveillée, les autorités savent au regard de la flambée de contestations de l’opinion nationale, concernant ces dossiers, qu’ils ne peuvent plus faire la même erreur pour Sylvia Bongo Valentin, si toutefois ils souhaitent donner du crédit a cette opération dite »Dignite ».
La fin du feuilleton des BONGO Valentin, nous enseigne à bien des égards, ce passage de la sainte Bible, Mathieu 26: 52 devenu une maxime populaire, << Qui tue par l’épée, périra par l’épée >>.