Dans l’histoire des Grandes nations libres, il est très souvent relever les péripéties des vigoureux combats, ayant abouti à l’émancipation de celles-ci. C’est probablement dans ce schéma, que se retrouve le Gabon actuellement, mais dont les enjeux sont soit inconnus ou simplement ignorer par certains acteurs politique tapis dans l’ombre, au profit des intérêts personnels.
Nul ne peut aujourd’hui avec certitude prévenir de ce qu’il en serait devenu du Gabon au lendemain de la proclamation des résultats tronqués du 30 Août 2023 et d’en définir les éventuelles solutions, si les forces de sécurités et de défenses ( FSD ) n’auraient intervenus.
C’est dire à quel point, l’humain dans sa composition psychique en général peut se montrer ardu. Il est clairement accepté d’opinion unanime, que le Gabon enregistre un manque criad de fondamentaux, bien sûr le plan infrastructurel que social, celà dit, force est de reconnaître que << Paris ne s’est pas construite en un jour >>.
Aussi, » entre deux maux, il faut choisir le moindre mal » à t’on coutume de dire. À cette maxime faudrait sans doute y ajouter » et de s’en tenir au choix ». Loin l’idée d’offrir une ligne de défense au CTRI, mais force et humilité est du moins de reconnaître, que la prise de pouvoir des militaires a été un choix judicieux pour la préservation de l’unité nationale et la sûreté de l’Etat. Devrait-on à cette bravoure verser au bout de cinq (5) mois à l’impatience ?
En parcourant la charte de la transition en sont chapitre 4, des lois fondamentales et droits individuels, l’on constate avec un satisfait étonnement, l’intérêt du CTRI a la préservation des droits fondamentaux individuels des citoyens et de l’ouverture d’esprit de partage, à travers les différentes nominations, qui souvent même pausent problème au sein de l’opinion.
Le Dialogue National, prévu pour Avril prochain devrait emmener toutes les forces vives de la nation, à une introspection aux débouchés constructives, afin de franchir la lisière de nôtre essor vers la félicité, pour l’avènement de l’édifice nouveau auquel tous, nous rêvons.
Tel est la mission de chaque gabonais dans sa particularité et domaine de compétences. Et cela loin de tout conciliabules visant à tirer la transition vers le bas.
Édito : Du Grand Brun de LAMBARÉNÉ.