Sous d’autres cieux, ils seraient jetés aux piloris, déposséder des biens et avantages mal acquis durant leur règne. Aussi, l’on aurait pris le soin d’inscrire sur le marbre du déshonneur leurs noms et les exploits déviants qu’ils aient commis, afin que nul n’en ignore.
Le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, épris de sagesse et de tempérance envers ceux qui dans un passé encore très récent, étaient prêt à vendre le Gabon à la légion étrangère soutenue par le clan sylvia BONGO et cie pour quelques broutilles, se rend bien compte, au regard de la sortie ubuesque du Parti Démocratique Gabonais, du régime BONGO à travers le Perroquet de Ntang Louli, sur ça page Facebook officielle, et les tractations en cours, qu’il serait préférable de mettre hors-jeu, cette formation Sectero-Politique, afin de calmer la montée de protestation des populations qui depuis la ressurgissente sortie de celle-ci ( le PDG ) ont sonné l’alarme d’une levée de boucliers au sein de l’opinion nationale.
Un parti qui durant 56 ans de règne, a mécaniquement, tel » un projet scientifique » produit de façon effrénée les germes de la d’échéance de l’Etat Nation, ne peut assister à l’opération de sa réanimation. Le PDG avec a sa tête le clan BONGO et alliés ont durant plus d’un demi siècle, géré le Gabon sans partage. Ils sont clairement la source culminante du malheur des Gabonais et ne peuvent en aucun cas, en être la solution.
Selon certains analystes qui observent avec attention la progression des évènements au Gabon depuis le coup de libération du 30 Août 2023, ils définissent la sortie du PDG comme étant un moyen d’enfoncer le CTRI en lui faisant perdre sa crédibilité, qui en vérité est l’un de ses plus grands atouts, pour conduire cette transition sans bavure.
Il est à cet effet question, selon ces indiscrets, pour le PDG et alliés à l’ancien régime déchu tapis dans l’ombre, de prouver aux yeux des Gabonais que le CTRI n’a ni la force encore moins le courage de mettre leur formation sur le banc. Et que rien dans ce pays ne s’est fait de grand, sans l’empreinte du PDG et que ce n’est pas aujourd’hui qu’il en sera autrement.
De cette entendement, le Général Président de la Transition, Chef de l’Etat, devra prendre une lourde décision, avant l’ouverture des travaux de ce Dialogue National qui se pointe à l’horizon et dont les populations demandent pure et simplement la non participation du PDG.
La question reste de savoir, si les militaires resteront au côté du peuple souverain qui réclame justice ou accepteront-ils de ce compromettre en validant la participation du PDG à ses Assis Nationale ?
l’avenir nous le dira, celà dit, le Général est conscient que le jeu de cette carte sera décisif.
Édito: Du Grand Brun de LAMBARÉNÉ.