Le Dialogue National Inclusif qui s’est tenu du 02 au 30 Avril 2024 à Libreville au Gabon, dont la promesse fut faite aux populations par les autorités de transition, en tête des desquelles le Gle de Brigade Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, au lendemain du coup de libération, ayant mis fin au régime Bongo-PDG suscite depuis la clôture des travaux, plusieurs interrogations et contestations suite aux résolutions des propositions adoptées par les commissaires.
En effet, au cours des assises et plénières, les commissaires qui ce sont concerté en confrontant les diverses opinions sur les thématiques et questions aborder ont sans aucun doute garder en chacun, l’importance de la mission qui était la leur, en respectant dans la mesure du possible et du bon sens, les aspirations et attentes du peuple Gabonais qui dans la première phase de ce dialogue national ont été appelé à contribuer sur tous les sujets de la vie de la nation, d’où la précision 《 d’inclusif 》.
Cela dit, force est de constater que plusieurs résolutions de propositions suscitent une levée de bouclier auprès d’une minorité de quelque fidèles partisans du Parti Démocratique Gabonais et parti alliés. Cette animosité emane bien entendue pour la plupart, des résolutions de propositions de la sous commission Régime et Institutions Politiques qui, au sortir des assises du dialogue ont proposés en tenant compte des taux de préconisations des populations, des sanctions de suspensions du PDG et partis alliés et d’une inéligibilité à toutes élections de leurs membres cadres influens, durant une période de (3) trois ans avec de possibles poursuites en justice pour des personnalités ayant jouer des rôles prépondérante de bradation de l’Etat pendant les (7) sept dernières années de magistère d’Ali Bongo.
À ce titre force est de rappeler que le dialogue national Inclusif est un processus d’aspiration souveraine et que le peuple n’acceptera à aucun moment, que les résolutions proposées à l’issue des ces assises soient bafouées ou travestis,aux profit de maîtres chanteurs qui n’ont que pour seul agenda, de semer le poison et rependre la peur, comme ce fut le cas ce week-end à LAMBARENE dans la Rive-droite où les quelques riverains invités à cette réunion, surpris de sa présence ont renvoyé dans les cordes l’ancien et dernier Premier Ministre d’Ali Bongo, qui se fait le chantre de la résurrection du « pouvoir » du clan Bongo-PDG et alliés en l’assaignant de questions et propos de dénigrant sans prendre de gants.
C’est là un indicateur, qui montre bien que les gabonais sont certes en attente d’un mieux être, mais ont clairement tournés la page de l’ere Bongo-PDG. Le Général Président, devrait de ce fait, prendre le pools de l’enjeu et choisissant soit de rester fidèle à ses idéaux et peuples souverain, qui pourrait le porter beaucoup plus loin qu’il ne l’imagine, ou de succomber aux chantages politiques, trahir le peuple et d’en assumer les conséquences d’une révolution populaire.
Le Grand Brun de LAMBARENE