Les Nouvelles lignes d’horizon du Spectre des Cent (100) jours du Président de Transition.

Cent (100) jours après la prise du pouvoir par la militaires, regroupés au sein du Comité de Transition pour la Restauration des Institutions ( CTRI ), la poussière retombe peu à peu, laissant place à la réalité, qui nous renseigne bien sur l’état de déliquescence dans lequel, le Gabon a été plonger par l’ancien régime fortement dirigé par le clan Sylvia et sci.

En effet, au lendemain demain du coup de libération du 30 Août dernier, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, porté à la tête de l’Etat, par les Chefs d’États Majors des Forces de Sécurité et de Défense, a tout de suite initié un certain nombre de réformes visant à désengorger plusieurs secteurs tels que :

  • La Réhabilitation des voiries urbaines, pour les secteurs infrastructurel Routier.
  • La Réouverture des recrutements à la fonction publique, pour ce qui du rabaissement de la courbe du Chômage.
  • De la gratuité des frais d’inscriptions dans tous les établissements publiques du pays, pour ce qui est du volet Éducation.
  • Le Paiement des arriérés de la dette publique extérieur, pour ce qui est du domaine économique et financier.

À côté de ça, plusieurs autres réformes et réalisations spontanées ont également vu le jour. Cela dit, force est de constater une certaines incompatibilités dans le rythme d’applicabilité, entre certains membres du gouvernement ; de l’administration centrale nonchalant aux attentes des Gabonais.

Cent (100 ) jours après, outre les réformes courageuses du président de transition, l’on observe une certaine letargie du gouvernement sensé matérialiser les décisions du Chef de l’Etat. L’on est donc tenter de se poser les questions de savoir :

  • Si le gouvernement de transition dispose de tous les leviers lui permettant de parfaitement accomplir les missions qui lui ont été assignées ?
  • La Réalité Actuelle exige t’elle une certaine vitesse, quant à l’application des mesures visant à améliorer les conditions de vie des Gabonais ?
  • Le gouvernement de transition serait il victime d’une problématique endogène de discipline et de commandement ?

Cela dit, certains observateurs avisés de la vie politique gabonaise, pensent à tort où à raison qu’il va falloir pour le Président de Transition, redynamiser le gouvernement s’il souhaite obtenir des résultats satisfaisants avant la fin de la période de transition.

Autrement dit, les signes d’un ralentissement de rythme engagé au départ, commence à être perceptible à l’instar de la poursuite de certains chantiers routiers sur le linéaire NKOK/ NTOUM.